Par
Erick FANTIN
Le 15/03/2019
Le triomphe de l’accordéon
Entre les deux guerres seuls les ménétriers qui ont opté pour l’accordéon diatonique obtiennent un sursis.
Paul Bastie de la Colle de 1925 à 1937, Lisou Campanel de Saigne-Villemagne, Tartosal jouent à la demande de l’accordéon ou de la cornemuse.
« Une fois par semaine on se retrouvait dans une campagne où Louisou des Roques ou Paul de la Colle nous faisaient danser au son de leur accordéon. C’est là qu’on pouvait rencontrer des garçons. Quand une fille et un garçon se plaisaient, ce dernier se louait dans la métairie de la fille, pour la voir souvent, mais aussi pour montrer ses mérites et plaire aux parents. »
Vendramini, fantin, novello